La course landaise existe depuis le moyen âge dans le Sud Ouest. Mais elle se pratiquait dans la rue et n’avait pas l’organisation professionnalisée d’aujourd’hui. Malgré les contraintes qui l’ont amenée à se développer dans des arènes, elle draine toujours un public de touristes et de passionnés. Ces derniers connaissent le nom et les caractéristiques de chaque vache, les qualités de chaque écarteur ou sauteur ; bref, la passion reste vivante, mais bien peu sont allés dans les coulisses...
C’est à la fin du XIXème siècle que se sont produites les principales évolutions. Notamment avec l’apport de vaches ibériques, qui ont fait disparaître la vache landaise, et le costume de lumière adopté dans la foulée. Puis est venu le « courdayre », le teneur de corde, qui empêche les accidents graves ; et les figures se sont précisées avec les écarts et les sauts, codifiés et permettant de classer les artistes sportifs qui composent les cuadrillas (équipes) attachées aux ganaderias (troupeaux). Au nombre de quatre dans l’ouest Gersois, elles se répartissent les différentes courses de la région et ont leurs fans. La montée à l’Escalot (échelle accédant à la tribune officielle) permet de recevoir primes et cadeaux, en complément des points obtenus par leur adresse et leur courage.
Vos commentaires
1. Le 11 août 2015 à 04:33, par Berthier En réponse à : Courses landaises : les coulisses des arènes
FAIRE CESSER LA TOREAUMACHIE PAR N’IMPORTE QUEL MOYEN
2. Le 21 août 2015 à 12:22, par Webmestre En réponse à : Courses landaises : les coulisses des arènes
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3. Le 24 août 2015 à 09:25, par inuit En réponse à : Courses landaises : les coulisses des arènes
Bonjour,
Toute forme de cruauté envers les animaux doit cesser le plus rapidement.
Toute cette souffrance animale est intolérable et inadmissible à notre époque.
Cordialement.
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