Parlem TV participe à la fabrication du journal vidéo sur le festival.
Pour la première fois cette année ces interviews ont été diffusés en direct sur internet.
Les films au programme de ce 21ème Festival - 2018 :
http://www.independancesetcreation.com
Mercredi 3 octobre 2018
—> Ouverture du Festival par son président Alain Bouffartigue
--->A propos du film "Les Invisibles"
Interview de Louis-Julien Petit, réalisateur, et intervention de l’actrice Noémie Lvovsky lors du débat qui a suivi la projection de ce film qui a fait l’ouverture du festival.
—> Le journal de la journée :
Jeudi 4 octobre 2018
—>Interview de Tamara Erde pour son film Looking for Zion
Ce road-movie suit la réalisatrice à travers Israël, reconstituant les photographies prises par son grand-père, photographe officiel du mouvement Sioniste dès les années 30. À travers cette quête, Tamara Erde confronte passé et présent, ainsi que leurs deux différentes perspectives : celle de l’utopie des photos d’Ephraïm précédant et suivant la création de l’État face et celle de la réalisatrice aujourd’hui. En parallèle, la réalisatrice confronte l’histoire personnelle de sa famille à l’Histoire politique et sociale du pays.
—>Interview de Pénélope Bertoluzzi pour son film Samouni road.
Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Amal, ses frères et leurs cousins ont perdu leurs parents, leurs maisons et leurs oliviers. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus difficile encore incombe à ces jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire. Au fil de leurs souvenirs, Samouni Road dresse un portrait de cette famille avant, pendant et après l’événement qui a changé leur vie à jamais.
—>Interview de Fabienne Godet et Régis Ribes pour "Nos vies formidables"
Margot, Jérémy, Salomé, César, Sonia… Ils ont entre 18 et 50 ans. Tout les sépare, sauf l’urgence de se reconstruire et de restaurer la relation à l’autre que l’addiction a détruite. Solidaires, ils ont comme seules règles, le partage, l’honnêteté, l’authenticité, la sincérité, l’humanité. Une bande incroyable de vivants qui crient haut et fort qu’on s’en sort mieux à plusieurs que seul.
---> Journal du jeudi 4 octobre
Vendredi 5 octobre 2018
—> Interview de Rohena Gera pour son film "Monsieur".
Ratna est domestique chez Ashwin, le fils d’une riche famille de Bombay. En apparence la vie du jeune homme semble parfaite, pourtant il est perdu. Ratna sent qu’il a renoncéàses rêves. Elle, elle n’a rien, mais ses espoirs et sa détermination la guident obstinément. Deux mondes que tout oppose vont cohabiter, se découvrir, s’effleurer…
—>Interview de Romain Laguna pour le film Les Météorites
Nina, 16 ans, rêve d’aventure. En attendant, elle passe l’été entre son village du sud de la France et le parc d’attractions où elle travaille. Juste avant de rencontrer Morad, Nina voit une météorite enflammer le ciel et s’écraser dans la montagne. Comme le présage d’une nouvelle vie.
—>Interview de Clément Schneider pour son film Un violent désir de bonheur.
1792, au cœur de la Révolution Française. Isolé dans l’arrière-pays montagneux, loin de l’épicentre des événements, le couvent du jeune moine Gabriel est occupé et réquisitionné comme caserne par une troupe de soldats révolutionnaires et la jeune femme silencieuse qui les accompagne : Marianne. Une cohabitation forcée entre moines et soldats s’ensuit, qui ne laisse pas Gabriel indifférent aux idées nouvelles.
—>Interview de Hiner Salem pour son film "Qui a tué Lady Winsley ?".
Lady Winsley, une romancière américaine, est assassinée sur une petite île turque. Le célèbre inspecteur Fergün arrive d’Istanbul pour mener l’enquête. Très vite, il doit alors faire face à des secrets bien gardés dans ce petit coin de pays où les tabous sont nombreux, les liens familiaux étroits, les traditions ancestrales et la diversité ethnique plus large que les esprits.
—>Interview de Judith Davis pour son film "Tout ce qu’il me reste de la révolution".
Vers 17h30...
Angèle avait 8 ans quand s’ouvrait le premier McDonald’s de BerlinEst… Depuis, elle se bat contre la malédiction de sa génération : être né « trop tard ». Elle vient d’une famille de militants, mais sa mère a abandonné le combat politique pour déménager à la campagne et sa sœur a choisi le monde de l’entreprise. Seul son père est resté fidèle à ses idéaux. Angèle s’applique autant à essayer de changer le monde qu’à fuir les rencontres amoureuses. Tantôt Don Quichotte, tantôt Bridget Jones, Angèle tente de trouver un équilibre…
--->Interview de Sébastien Marnier pour son film L’heure de la sortie.
Lorsque Pierre Hoffman intègre le prestigieux collège de Saint Joseph il décèle, chez les 3e 1, une hostilité diffuse et une violence sourde. Est-ce parce que leur professeur de français vient de se jeter par la fenêtre en plein cours ? Parce qu’ils sont une classe pilote d’enfants surdoués ? Parce qu’ils semblent terrifiés par la menace écologique et avoir perdu tout espoir en l’avenir ? De la curiosité à l’obsession, Pierre va tenter de percer leur secret...
---> Interview de Guillaume Nicloux pour son film Les confins du monde.
Indochine, 1945. Robert Tassen, jeune militaire français, est le seul survivant d’un massacre dans lequel son frère a péri sous ses yeux. Aveuglé par sa vengeance, Robert s’engage dans une quête solitaire et secrète à la recherche des assassins. Mais sa rencontre avec Maï, une jeune Indochinoise, va bouleverser ses croyances.
---> Interview de Yolande Zauberman pour son film "M".
Banlieue de Tel Aviv. Bnei Brak, capitale mondiale des « Craignant Dieu », les Juifs ultra-orthodoxes. Enfant, Menahem Lang était considéré comme un enfant prodige pour sa voix d’or. Mais l’enfant au sourire clair cachait un secret : pendant des années, il avait été violé par des membres de cette communauté qui l’adulait. Dix ans après, Menahem revient sur les lieux du crime. C’est aussi le retour dans un monde qu’il a aimé, un chemin initiatique parsemé de rencontres inouïes, de rituels retrouvés… Une réconciliation.
--->Journal du vendredi 5 octobre
Samedi 6 octobre 2018
— ->Interview de Julie Bertucelli pour "La dernière folie de Claire Darling".
À Verderonne, petit village de l’Oise, c’est le premier jour de l’été et Claire Darling se réveille persuadée de vivre son dernier jour... Elle décide alors de vider sa maison et brade tout sans distinction, des lampes Tiffany à la pendule de collection. Les objets tant aimés se font l’écho de sa vie tragique et flamboyante. Cette dernière folie fait revenir Marie, sa fille, qu’elle n’a pas vue depuis 20 ans.
--->Interview de Penda et Jean-Gabriel pour "En Politica"
Une petite équipe d’activistes déterminés à changer les choses décident de se présenter pour la première fois à des élections. Élus députés au Parlement asturien sous les couleurs de Podemos, ils se retrouvent plongés dans le monde politique auquel ils se sont toujours opposés. Pris entre leurs idéaux et la réalité pratique de la politique institutionnelle, les nouveaux élus font l’apprentissage des rouages de l’institution et sont rapidement confrontés aux tractations politiques inhérentes au système parlementaire.
—>Interview de Hanna Ladoul et Marco La Via pour leur film " Nous les coyotes ".
Amanda et Jake s’aiment et veulent tout (re)commencer à Los Angeles. Sauront-ils faire les bons choix ? Les vingt-quatre premières heures de leur nouvelle vie vont les emmener de surprises en déconvenues, d’un bout à l’autre de la ville.
--->Entretien avec Teemour Diop pour "Hyènes" réalisé par son père Djibril Diop Mambéty en 1992.
Des griots annoncent à la population de Colobane, petite cité du Sahel, une incroyable nouvelle : le retour au pays de Linguere Ramatou devenue multi-millionnaire. Au cours d’un grand banquet, Linguere annonce son intention de donner 100 milliards à la ville. Mais en contrepartie, elle demande la mort de Draman, son amant d’antan, qui par de faux témoignages l’avait fait chasser de la ville alors qu’elle portait un enfant de lui.
---> Entretien avec Maxime Matray et Alexia Walther pour "Bêtes blondes"
Ephémère vedette de sitcom dans les années 1990, Fabien boit aujourd’hui. Beaucoup trop pour se souvenir de tout ce qu’il fait, et plus grand-chose ne l’étonne. Aussi, lorsqu’il croise la route de Yoni, il n’est pas autrement surpris de découvrir, dans le sac du jeune militaire en larmes, la tête d’un autre jeune homme, beau comme un rêve, comme un souvenir, comme un reproche.
--->Entretien avec Mila Turajilic pour "L’envers d’une histoire"
Une porte condamnée dans un appartement de Belgrade révèle l’histoire d’une famille et d’un pays dans la tourmente. Tandis que la réalisatrice entame une conversation avec sa mère, le portrait intime cède la place à son parcours de révolutionnaire, à son combat contre les fantômes qui hantent la Serbie, dix ans après la révolution démocratique et la chute de Slobodan Milošević.
—>Interview de Claire Burger pour "C’est ça l’amour"
Depuis que sa femme est partie, Mario tient la maison et élève seul ses deux filles. Frida, 14 ans, lui reproche le départ de sa mère. Niki, 17 ans, rêve d’indépendance. Mario, lui, attend toujours le retour de sa femme.
--->Journal du samedi 6 octobre
Dimanche 7 octobre 2018
----> Entretien avec Iona Uricaru pour "Lune de miel"
Mara, une mère célibataire de trente ans originaire de Roumanie, travaille comme infirmière aux États-Unis. Elle ne possède qu’un visa temporaire - déjà expiré - mais suite à son mariage avec Daniel, un de ses patients, Mara se sent enfin le droit de partir elle aussi à la poursuite du célèbre rêve américain…
---> Interview de Guillaume Giovanetti pour "Sibel"
Sibel, 25 ans, vit avec son père et sa sœur dans un village isolé des montagnes de la mer noire en Turquie. Sibel est muette mais communique grâce à la langue sifflée ancestrale de la région. Rejetée par les autres habitants, elle traque sans relâche un loup qui rôderait dans la forêt voisine, objet de fantasmes et de craintes des femmes du village. C’est là que sa route croise un fugitif. Blessé, menaçant et vulnérable, il pose, pour la première fois, un regard neuf sur elle.
Interview de Mia Hansen-Love pour "Maya"
Décembre 2012, après quatre mois de captivité en Syrie, deux journalistes français sont libérés. Le plus jeune, Gabriel, a 32 ans. Après une journée passée entre interrogatoires et examens, Gabriel peut revoir ses proches : son père, son ex-petite amie, Naomi. Sa mère, elle, vit en Inde, où Gabriel a grandi. Mais elle a coupé les ponts. Quelques semaines plus tard, ne pouvant retrouver ses repères, Gabriel décide de partir en Inde. Il s’installe dans la maison de son enfance à Goa et fait la connaissance de Maya, une jeune indienne.
Vers 11h ?
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