Pierre Tachon élève des esturgeons dans des bassins près de Riscle. C’est avec les œufs de ces poissons que l’on fabrique le caviar. Les esturgeons vivaient par le passé dans l’Adour. Pierre Tachon aimerait les réintroduire dans le fleuve.
Ce court métrage est le film que deux lycéennes, Marianne Clanchet et Loumagne Mathilde, ont réalisé pour leur épreuve du baccalauréat littéraire, enseignement de spécialité cinéma audiovisuel en 2015. Il est le reflet de leurs apprentissages, de leur travail au cours de deux années de spécialité au Lycée Pierre Mendes France de Vic-en-Bigorre.
Accompagnement pédagogique, technique et artistique : Isabelle Vaillon et Jean-Luc Galvan.
"Cet enseignement de spécialité cinéma-audiovisuel au lycée de Vic en Bigorre propose aux élèves de la filière littéraire une ouverture sur l’audiovisuel, tant dans sa fabrication que dans sa compréhension. Plutôt orientée sur le documentaire, elle donne l’occasion aux lycéens d’aller à la rencontre de leur environnement, de le questionner et de chercher dans la forme cinématographique à rendre compte de leurs rencontres, de leurs étonnements et de leurs découvertes. Les films pour le baccalauréat sont réalisés en autonomie et suivis par un réalisateur professionnel qui les conseille, leur suggère sans jamais imposer. Ce contact avec un professionnel, si rare dans l’enseignement général est un atout indéniable de cette filière qui permet aux élèves de s’ouvrir sur le monde.
A une époque où l’image a une place prépondérante dans notre quotidien, il est important de savoir l’analyser, la décortiquer et la comprendre pour démonter les mécanismes de manipulation médiatique, mais aussi de savoir la construire afin d’en faire un réel outil d’expression individuelle ou collective. Les films que les élèves réalisent sont le reflet de leurs préoccupations, de leurs opinions. Ils nous offrent à partager par cet intermédiaire leur regard sur le monde."
Vos commentaires
1. Le 14 décembre 2016 à 14:23, par JOLY Hubert En réponse à : L’esturgeon de l’Adour
“Avec l’association MIGADO, nous avons publié une notice de ! pages en 5 000 exemplaires sur l’esturgeon européen.
Contribuez-vous au réempoissonnement du fleuve par des lâchers de juvéniles ? Quels sont les plus gros obstacles à faire disparaitre ?
Merci d’avance
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